LONDON - a field memory
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Anton Mobin, Using a Nagra ARES M II.All field recordings captured in LONDON from March 2nd till 6th, 2009. Mixed at the Maïzing Studio (Paris) during Spring 2010 by Anton Mobin.
Collage artwork by Anton Mobin.
Alors qu'on fredonnait encore le très bon Micro-Climat sorti chez Konkretourist netlabel en 2009. Nous voici propulsé dans un nouveau voyage sonique. Non pardon, hypersonique ....
“When a man is tired of London, he's tired of Life; for there is in London all that Life can afford...” Alors que la fantôme du Docteur Johnson continue à déverser une avalanche de jeux de mots plus raffinés les uns que les autres, accompagnés de grimaces et de crispations incontrôlées, une sonnette me happe - tics moteurs- spasmes urbains - degrés variables et intensité. Un problème entre la substancia nigra et la motricité de mes oreilles ???
Capter et restituer les manifestations sonore d'une ville comme Londres ne vas pas de soi. Est ce qu'on cherche ce qui singularise une ville ? Est ce qu'on cherche à organiser les volumes/masses sonores dans l'idée de représenter les espace traversés ? Comment amène-t-on l'oreille à un désire d'écoute ? Comment l'amener à se perdre dans les sinusoïdes d'une mosaïque sonore et comment la reprendre au vole pour un presque changement de décor ? Mais surtout et encore une fois pour Anton Mobin comment transcender le quotidien par l'organisation du banal ?
Balle de tennis. Roulement de tambour. Lancé de Cornemuse. Dérapage contrôlé. Savoir pointer les bruits du bout d'une baguette sensible, cet appareil de capture qu'est le micro pour le rendre à nouveau aux oreilles en 2.0. Démonstration où s'articule savoir faire et sensibilité.
“When a man is tired of London, he's tired of Life; for there is in London all that Life can afford...” Alors que la fantôme du Docteur Johnson continue à déverser une avalanche de jeux de mots plus raffinés les uns que les autres, accompagnés de grimaces et de crispations incontrôlées, une sonnette me happe - tics moteurs- spasmes urbains - degrés variables et intensité. Un problème entre la substancia nigra et la motricité de mes oreilles ???
Capter et restituer les manifestations sonore d'une ville comme Londres ne vas pas de soi. Est ce qu'on cherche ce qui singularise une ville ? Est ce qu'on cherche à organiser les volumes/masses sonores dans l'idée de représenter les espace traversés ? Comment amène-t-on l'oreille à un désire d'écoute ? Comment l'amener à se perdre dans les sinusoïdes d'une mosaïque sonore et comment la reprendre au vole pour un presque changement de décor ? Mais surtout et encore une fois pour Anton Mobin comment transcender le quotidien par l'organisation du banal ?
Balle de tennis. Roulement de tambour. Lancé de Cornemuse. Dérapage contrôlé. Savoir pointer les bruits du bout d'une baguette sensible, cet appareil de capture qu'est le micro pour le rendre à nouveau aux oreilles en 2.0. Démonstration où s'articule savoir faire et sensibilité.
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